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Accueil > Domaines d’activités > Mesures conservatoires : protéger vos droits avant le jugement
Les mesures conservatoires sont des outils juridiques qui permettent à un créancier de protéger sa créance et de geler tout ou partie du patrimoine de son débiteur avant même qu’un jugement définitif ne soit rendu. L’objectif n’est pas encore d’encaisser les sommes, mais d’éviter que les biens disparaissent (vente, transfert, organisation d’insolvabilité) et de préserver des garanties suffisantes pour que l’exécution future de la décision de justice ne soit pas vidée de sa substance.
Concrètement, il peut s’agir de :
Au sein du réseau Kaliact, les commissaires de justice aident les créanciers à identifier quand une mesure conservatoire s’impose, à préparer la demande d’autorisation, puis à mettre en œuvre les saisies ou sûretés dans le respect du Code des procédures civiles d’exécution.
Une mesure conservatoire est une décision (souvent autorisée par un juge) qui place certains biens du débiteur “sous-main de justice” : le débiteur ne peut plus les vendre, les déplacer ou les affecter librement, le temps que le litige soit tranché. Le but est de garantir l’efficacité future des mesures d’exécution que le créancier pourra engager une fois muni d’un titre exécutoire.
On parle de mesures conservatoires notamment pour :
La loi distingue deux grandes catégories de mesures conservatoires :
Dans les deux cas, l’idée est la même : sécuriser un gage pour le futur, sans attendre la fin du procès.
L’article L. 511-1 CPCE fixe deux conditions de fond essentielles :
La créance doit paraître fondée en son principe :
Il doit exister des circonstances de nature à menacer le recouvrement :
Les mesures conservatoires sont particulièrement pertinentes lorsque :
Dans ce type de contexte, une étude Kaliact peut aider à déterminer rapidement si une mesure conservatoire s’impose et laquelle choisir.
Vous souhaitez en savoir d’avantage sur vos droits ?
Découvrez comment le réseau Kaliact peut vous aider.
Avant de lancer une mesure conservatoire, l’étude Kaliact :
Cette étape permet de choisir entre :
Dans de nombreux cas, la mesure conservatoire nécessite une autorisation du juge :
Dans certains cas prévus par la loi, le créancier peut pratiquer une mesure conservatoire sans autorisation préalable, notamment lorsqu’il dispose déjà d’un titre exécutoire ou dans des hypothèses spécifiques (créance fiscale, par exemple).
Une fois l’autorisation obtenue (ou lorsqu’elle n’est pas nécessaire), le commissaire de justice :
Les biens deviennent alors indisponibles ou grevés d’une sûreté, ce qui :
Après la mise en place :
À ce stade, on bascule dans la mission “Exécution de décisions de justice”.
Les coûts comprennent notamment :
Une partie de ces frais peut, dans certains cas, être réclamée au débiteur à l’issue de la procédure (condamnation aux dépens, article 700 du CPC), mais ce n’est jamais garanti.
L’étude Kaliact peut chiffrer en amont un ordre de grandeur des coûts et vérifier si la mesure conservatoire est économiquement pertinente au regard du montant de la créance et de la solvabilité prévisible du débiteur.
Les délais varient selon :
L’enjeu des mesures conservatoires est précisément de réagir vite : plus la demande est déposée tôt, plus les chances sont élevées de geler des actifs réellement disponibles.
Le réseau Kaliact rassemble des études de commissaires de justice partout en France.
Via le site, vous pouvez :
Parmi les principales villes couvertes par le réseau Kaliact figurent notamment Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Nice, Nantes, Montpellier, Strasbourg, Bordeaux et Lille.
Chaque étude peut :
Bénéficier d’un accompagnement sur mesure et d’une expertise pointue en faisant appels aux services d’un commissaire de justice qui s’engage à protéger vos intérêts avec professionnalisme et intégrité.
Consultez notre FAQ ou contactez nos experts pour découvrir tout le potentiel du réseau Kaliact.
Pas forcément. L’un des intérêts des mesures conservatoires est justement de pouvoir être sollicitées avant que le créancier ne dispose d’un jugement définitif. Il doit cependant justifier d’une créance paraissant fondée en son principe et de circonstances mettant en péril le recouvrement.
Dans certains cas, la loi permet aussi de pratiquer une mesure conservatoire sur la base d’un titre déjà existant (jugement, acte notarié, etc.), sans autorisation préalable du juge.
C’est souvent une étape que l’on envisage en parallèle ou en amont d’une procédure d’injonction de payer ou d’une assignation au fond, pour éviter que le débiteur n’organise son insolvabilité pendant la procédure.
En pratique, les mesures conservatoires sont souvent la préparation des saisies d’exécution à venir.
Oui. Le débiteur peut saisir le juge pour demander :
Le juge apprécie alors :
La page “Mesures conservatoires” s’articule naturellement avec d’autres missions du réseau Kaliact :
“Les informations ci-dessus sont générales et ne remplacent pas un conseil juridique personnalisé. Chaque situation doit être analysée au cas par cas avec un professionnel du droit.”
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