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Accueil > Domaines d’activités > Exécution de décision de justice
Lorsqu’une décision de justice est rendue en votre faveur, le plus difficile commence parfois : obtenir son exécution effective. Tant que le débiteur ne paie pas ou ne s’exécute pas volontairement, vous devez envisager de faire exécuter la décision de justice – en pratique, faire exécuter un jugement ou un autre titre exécutoire – par un commissaire de justice (anciennement huissier de justice), seul professionnel habilité à mettre en œuvre l’exécution forcée d’un jugement.
Au sein du réseau Kaliact, les commissaires de justice interviennent partout en France pour faire appliquer les jugements et titres exécutoires : recouvrement de créances, loyers impayés, pensions alimentaires, indemnités, expulsions locatives, remise de biens, obligations de faire ou de ne pas faire…
Cette page vous aide à comprendre :
Après un procès ou une procédure (ordonnance d’injonction de payer, jugement de tribunal, décision prud’homale, acte notarié…), la partie qui a obtenu gain de cause devient créancière, et son adversaire débiteur.
Deux situations se présentent :
L’exécution forcée permet, dans un cadre légal strict, de contraindre le débiteur à exécuter ses obligations, le plus souvent par des saisies sur ses biens ou ses revenus.
Le commissaire de justice est le seul professionnel habilité à procéder à l’exécution forcée des décisions de justice rendues par les juridictions civiles, commerciales, prud’homales, etc.
Concrètement, il :
Son rôle est de faire respecter votre décision de justice, tout en veillant au respect des droits de chacun.
La situation la plus fréquente concerne le paiement d’une somme d’argent décidée par le tribunal : on cherche alors à faire exécuter un jugement de condamnation au paiement.
Si le débiteur ne règle pas spontanément les sommes dues malgré la décision, il devient nécessaire de faire exécuter le jugement par des mesures de saisie, afin de permettre au créancier de récupérer tout ou partie de sa créance.
L’exécution d’une décision de justice ne concerne pas uniquement l’argent. Elle peut aussi viser :
Dans ces hypothèses, le commissaire de justice organise l’exécution (expulsion, reprise du bien, changement de serrures, inventaire des lieux…), dans le respect de règles précises : délais, trêve hivernale, concours éventuel de la force publique, présence ou non d’occupants vulnérables, etc.
Certaines décisions imposent une obligation de faire (réaliser des travaux, livrer un bien, retirer un contenu illicite d’un site internet…) ou une obligation de ne pas faire (cesser une activité, stopper une nuisance, mettre fin à un comportement illicite…).
Le commissaire de justice peut :
Dans certains cas, le jugement peut être assorti de l’exécution provisoire : cela permet de faire exécuter une décision de justice même si un recours est en cours, sauf décision contraire d’une juridiction.
Vous souhaitez en savoir d’avantage sur vos droits ?
Découvrez comment le réseau Kaliact peut vous aider.
La saisie-attribution sur les comptes bancaires permet de bloquer immédiatement les sommes disponibles sur les comptes du débiteur, dans la limite de la créance. La banque doit alors déclarer les fonds détenus, et une partie reste protégée sous forme de solde bancaire insaisissable, afin de préserver un minimum vital.
Le commissaire de justice :
La saisie-vente de biens mobiliers porte sur les biens appartenant au débiteur (mobilier, matériel professionnel, véhicules, équipements…), à l’exclusion de ceux que la loi déclare insaisissables (certains biens nécessaires à la vie courante ou à l’exercice de l’activité professionnelle).
Après inventaire, les biens saisis peuvent :
La saisie des rémunérations (saisie sur salaire) permet de prélever directement, auprès de l’employeur, une partie du salaire du débiteur, selon un barème légal qui préserve une part insaisissable.
Cette procédure :
Selon la situation, d’autres mesures peuvent être envisagées :
Le commissaire de justice évalue, avec vous et éventuellement votre avocat, les options les plus pertinentes au regard :
Pour faire exécuter une décision de justice, il faut, en principe :
Le commissaire de justice du réseau Kaliact vérifie notamment :
Une fois ces éléments vérifiés, les mesures d’exécution forcée peuvent être engagées dans le respect du code des procédures civiles d’exécution.
Une fois le titre exécutoire remis à une étude Kaliact, la procédure suit généralement quatre grandes étapes :
L’objectif est de transformer votre jugement en résultat concret, en maximisant les chances de recouvrement dans un cadre légal sécurisé.
L’exécution forcée ne signifie pas “tout est permis”. Le commissaire de justice agit dans un cadre strictement réglementé :
Le commissaire de justice doit donc équilibrer les droits du créancier et la protection du débiteur, tout en appliquant la décision de justice.
Une partie des actes liés à l’exécution des décisions de justice relève d’un tarif réglementé à l’échelle nationale (saisies, expulsions, certains actes de recouvrement…). D’autres interventions peuvent donner lieu à des honoraires libres, notamment lorsqu’elles sortent du champ strictement tarifé ou qu’elles nécessitent un travail spécifique (recherches approfondies, analyses particulières…).
L’étude Kaliact que vous contacterez pourra vous indiquer :
Le coût et la durée d’une procédure pour faire exécuter une décision de justice dépendent de nombreux facteurs :
Dans certains dossiers, un recouvrement peut être rapide (saisie sur un compte suffisamment provisionné par exemple). Dans d’autres, il s’inscrit dans la durée, via une saisie sur rémunérations ou des opérations plus lourdes (saisie immobilière, vente de biens…).
Le réseau Kaliact regroupe des études de commissaires de justice implantées partout en France. Vous pouvez ainsi être orienté vers un professionnel capable de :
Sur le site, vous pouvez :
Parmi les principales villes couvertes par le réseau Kaliact figurent notamment Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Nice, Nantes, Montpellier, Strasbourg, Bordeaux et Lille.
Chaque étude pourra vous indiquer :
Bénéficier d’un accompagnement sur mesure et d’une expertise pointue en faisant appels aux services d’un commissaire de justice qui s’engage à protéger vos intérêts avec professionnalisme et intégrité.
Consultez notre FAQ ou contactez nos experts pour découvrir tout le potentiel du réseau Kaliact.
Dès lors qu’il s’agit de contraindre un débiteur à respecter une décision de justice (par des saisies, une expulsion, la remise forcée d’un bien…), l’intervention d’un commissaire de justice est incontournable : c’est le professionnel chargé de mettre en œuvre les procédures civiles d’exécution, sous le contrôle du juge de l’exécution.
En amont, vous pouvez tenter des solutions amiables (négociation, médiation, recouvrement amiable…) ou être accompagné par un avocat. Mais pour faire exécuter le jugement de manière forcée, l’intervention du commissaire de justice est nécessaire.
La procédure d’exécution tient compte de la situation financière du débiteur :
Le commissaire de justice vous aide à évaluer les chances de recouvrement effectif et à adapter la stratégie (par exemple en privilégiant une saisie sur rémunérations plutôt qu’une saisie-vente si cela est plus réaliste).
Oui. Le débiteur (et dans certains cas le créancier ou un tiers concerné) peut contester certaines mesures d’exécution devant le juge de l’exécution :
Le commissaire de justice agit donc sous un contrôle juridictionnel permanent, qui garantit un équilibre entre l’efficacité de l’exécution et la protection des droits de chacun.
En fonction de votre situation, d’autres pages du site Kaliact pourront vous être utiles :
“Les informations ci-dessus sont générales et ne remplacent pas un conseil juridique personnalisé. Chaque situation doit être analysée au cas par cas avec un professionnel du droit.”
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